J’ai, j’ai gardé en secret dans une boite en argent
Un petit monde à moi, des étoiles, un océan
Un peu d’éternité, une flûte de pan
Mais je n’ai rien de toi, toi qui m’manque tellement
Je suis là où tu m’as laissée sur la route du néant
Et si la lune n’éclaire jamais, elle jaunit avec le temps
Et de nuage en nuage, sur les ailes d’un oiseau blanc
J’me suis laissée prendre en otage
Puisque sans toi plus rien ne rime, plus rien ne rime, rime
Et je m’abîme, bîme, et je m’abîme, bîme
J’suis allée au bout du monde, j’ai demandé pardon
Je suis là et je t’attends sous les étoiles d’orient
Il y avait comme un son perdu dans l’univers
Est-ce que ce serait toi
Oh comme je l’espère
Je suis là où tu m’as laissée sur la route du néant
Et si la lune n’éclaire jamais, elle jaunit avec le temps
Et de nuage en nuage, sur les ailes d’un oiseau blanc
J’me suis laissée prendre en otage
Puisque sans toi plus rien ne rime, plus rien ne rime, rime
Et je m’abîme, bîme, et je m’abîme, bîme
Je vais comme si tu m’attendais mais le temps parait long
Et je ne peux m’empêcher de penser comme une enfant
Que veux-tu que j’y fasse, rien n’est plus enivrant
Que d’s’accrocher à toi et d’y croire tout le temps
Je suis là où tu m’as laissée sur la route sur ce banc
Et si la lune n’éclaire jamais, elle jaunit avec le temps
Et de nuage en nuage, sur les ailes d’un oiseau blanc
J’me suis laissée prendre en otage
Puisque sans toi plus rien ne rime, plus rien ne rime, rime
Et je m’abîme, bîme, et je m’abîme, bîme