Mais quand tu viens chez moije ne sais pas pourquoij'ai le cœur qui bat qui batj'ai le cœur qui bat très très fortquand tu viens chez moije deviens le roije suis comme un petit garçonquand tu viens à la maison, ouaisje suis amoureux de tes grands yeux bleuset qui me font perdre la têteje suis très épris lorsque tu sourisje suis affolé par les baisers que tu me faisne sois pas farouche lorsque je te touchej'en veux seulement à ta boucheta main dans ma main, je me sens si bienet je crie ma joie, je suis heureux, c'est merveilleuxquand j'étreins ton corps, mon cœur bat si fortque j'en ai la fièvre blotti contre toije suis comme un fou, pendu à ton coulorsque tu m'embrasses, que tu m'enlaces, ah quelle grâcelorsque tu te penches, j'ai le cœur qui flancheje vois des nuits blanches qui n'arrêtent pastes poses affolantes toute la nuit me hantentquand nos mains se pressent, c'est l'ivresse et les caresses