La mer est la qui nous murmure
Ces mots d'amour et d'infini
La mer est la qui nous rassure
Le miracle n'est pas fini
Je renaîtrait de ses blessures
La mer est la qui me le dit
Je ne serait jamais parjure a cette nuit
La mer caresse ton visage
Me parle doucement de toi
Devais-je t'aimer davantage
T'ai-je donner assez de moi
Un programme d'état sauvage un feu sacré inassouvie
Entre Vorne ou le rivage après la nuit
Bien sure il y a ses orages
De ces tempêtes de c'est cris la mer
Souvent nous rejette et nous renie
Sourit de nos pauvres naufrages et de leur vanité
La mer apprends l'humilité
Écoute mon âme lointaine
Comme il est fragile précis
Ce chant qui nous viens des sirènes
Pour qu'elle apprendre quel folie
Non lui ne sera jamais lui même
Qu'au bout de quelle tragédie
Grand Dieu fallait-il que je t'aime en cette vie
Et j'ai pleurer milles manières
Désespérer abasourdie face a la mer
Devant les portes de la nuit
Mais elle le garde ses mystères
Même en ses soirs d'été
Même pour ceux qu'il ont chanté
La mer est la qui nous murmure
Ces mots d'amour et d'infini
La mer est la qui nous rassure
Le miracle n'est pas fini
La mer reflète ton visage
Pour quelle étrange prophétie
Quand trouverons nous le rivage après la nuit
Bien sure il eu ses orages
De ces tempêtes de c'est cris la mer
Se moque et nous rejette et nous renie
Elle gardera ces mystères
Même en ses soirs d'été
Même pour ceux qu'il ont chanté